Bon bin,
c'est toujours les meilleurs qui s'en vont. Puisqu'il apparait dans au moins un questionnaire par tournoi, je signale à tous mes amis lecteurs que le père Vonnegut est parti hier...
Quiconque lira Harrison Bergeron comprendra que l'on vient d'en perdre un grand.
Je suis triste, j'espère qu'il va penser à nous. Et j'espère que les deux autres membres de mon panthéon personnel, Teresa Orlowski et Louis-Simon Melancon ne me feront pas le même coup.
Calisse.